Un couple de jeunes mariés…
L’infirmité physique mise sur et en scène ou Cendrillon en fauteuil roulant.
Patchwork chorégraphique délirant. La danse tel un grand éclat de rire.
Quatre reines et un roi : parade, pas-de-deux, menuet et tarentelle.
Galerie déambulatoire de personnages de la danse du XXème siècle.
Sur le quatuor de Messiaen, des tableaux quasi iconographiques, un retable de danse.
Sur une simple peau de vache, un spectacle sans sono et déjanté.
En blanc, 7 danseurs accompagnés d’une sphère de 4m de diamètre.
Deux duos composés pour un lieu brut et liés par un concert technoïde.
Poupées, danse et magie : Mandrake fait vivre et danser des poupées Barbie.
Chorégraphie et installation plastique : deux types dans une boîte à facettes.
En silence, 6 danses pour 5 danseurs, inspirées par « le visage » d’E. Lévinas.
Chorégraphie dans une installation de céramiques de Philippe Godderidge.
Dans le noir, des objets phosphorescents révèlent le mouvement.
Les Préludes pour piano de Jacques Lenot font surgir une danse aux accents contemporains.
Spectacle chorégraphique et théâtral sur la vie et l’œuvre de Loïe Fuller.
En blanc, 7 danseurs accompagnés d’une sphère de 4m de diamètre.
Sur les quatre canons de l’Art de la Fugue, un solo Noir et Blanc.
A partir du Carnaval des Animaux, une création jeune public qui nous ramène en 1900.
L’histoire de la danse à la moulinette : Pavlova, Fuller, Travolta en 15 min chrono.
Canevas chorégraphique inspiré de J.-S. Bach et son Offrande Musicale.
Petit cabaret de Léonie Fer et Toni Jeanmaire sur Barbara, la chanteuse de minuit.
Un trio de danseurs qui, tels des baigneurs, ne savent pas encore marcher.
Le Bateau Ivre, Voyelles, La lettre du voyant, mis en corps, en voix et en images.
Visite interactive d’un théâtre et de l’histoire de la Danse.
On visite une ville, avec la danse que l’album des Beatles Abbey Road, nous suggère.
Dans une installation plastique de Claire Willemann, une danse du souffle.
Exploration de la transmission « mécanique » sur Pacific 2 3 1 d’Honnegger.
5+1 toiles de Djoka Ivačković pour 4 danseurs de la Cie V.O.
Un solo sur l’inachevé, l’inaccompli, le possible ou l’impossible...
Un duo qui fait le grand écart entre Trisha Brown, Bill T. Jones, hip-hop, Marching Band et twirling bâton.
Autour des amours de Guillaume Le Conquérante et Mathilde de Flandre. Dans le cadre du Millénaire de Caen.